Une estimation immobilière à Paris 7ème est nécessaire pour faire le point sur le prix des grands appartements familiaux !

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Une estimation immobilière à Paris 7ème est nécessaire pour faire le point sur le prix des grands appartements familiaux !

Vous avez un logement à vendre ? Passez par une agence pour faire réaliser une estimation immobilière dans le 7ème arrondissement de Paris. Dans la capitale, depuis le début de la crise sanitaire, les choses ont changé. Aujourd’hui, les grands appartements familiaux affichent les prix - au m2 - les plus élevés ! Explications…

C’est un fait bien établi dans le monde de l’immobilier, les prix à l’achat des grandes surfaces sont proportionnellement moins élevés que ceux des petites superficies et, inversement, plus la superficie d’un logement est petite, plus elle coûte cher au m2. Cet écart de prix s’explique par une demande plus importante pour les petites surfaces que pour les grandes. Traditionnellement, un bien immobilier de petite superficie est susceptible de convenir à une plus large palette d’acheteurs (primo-accédants, jeunes actifs, investisseurs locatifs ...) qu’un appartement familial. Rien d’étonnant, donc, à ce qu’une demande plus forte et des délais de vente plus courts riment avec des prix - au m2 - plus élevés. 

Seulement voilà, les chiffres montrent qu’à Paris, c’est l’inverse que l’on constate, avec de grands appartements (5 pièces et plus) qui coûtent proportionnellement plus cher (14 789 €/m2) que les studios (12 817 €/m2). S'agit-il là de la conséquence d'une pénurie d’appartements familiaux dans la capitale à laquelle ferait écho une surreprésentation des biens de faible superficie ? Les écarts relevés dans la capitale varient toutefois d’un arrondissement à l’autre et dans certains arrondissements (les 2e, 9e, 10e, 11e, 12e, 15e, 19e et 20e), la logique selon laquelle les petites superficies sont plus chères - au m2 - que les grandes est respectée.

« Faut-il y voir un nouvel effet de la crise sanitaire que nous traversons ? Les Parisiens auraient-ils privilégié l'achat de plus grandes surfaces pour traverser les différents confinements imposés ou le stock disponible de ce type de biens a-t-il réduit comme peau de chagrin, sans réel renouvellement, ces dernières années ? Voilà qui constitue, dans tous les cas, un nouveau défi à relever concernant la question du logement dans la Capitale », explique Séverine Amate, porte-parole du Groupe SeLoger.

O.D. / MySweetProd © Adobe Stock